20 juillet 2007
Fatigue
Des journées qui s'éternisent, faute de travail intéressant pour les occuper... La fatigue qui pèse sur les épaules, le lit qui me tend les bras dès le dîner passé, les nuits qui commencent souvent à 21 heures, en ce moment... Et l'inquiètude du médecin, hier, face à une tension trop basse, à laquelle je ne l'avais pas habituée.
Mon corps s'épuise, ma patience s'étiole.
Mais le spectre du vilain crabe s'éloigne, enfin...
(Merci, mon Dieu ! Merci, mon corps ! Merci, ma tête !...)
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