Frénésie gourmande
Il y a deux mois environ, à force d'indices convergents, il a bien fallu que je me rende à l'évidence : ma petite pathologie dormante s'était réveillée. Du coup, depuis quinze jours, voilà le contenu type de mon assiette, midi et soir, six jours et demi par semaine :
Arrosez-moi ça d'un filet d'huile d'olive et d'une goutte de vinaigre de Xérès, et dégustez-moi ça, M'sieurs-dames !...
On est bien d'accord : il y a plus sexy.
Mais c'est ça, ou une grosse saleté à vie... Alors je tâche de prendre mon mal en patience, avec plus ou moins de bonheur selon les jours. La perte de poids n'est pas une fin en soi - juste le meilleur indicateur d'une amélioration de la situation.
Alors du coup, je compense. Un rayon de soleil, un dimanche, Paris et ses tentations multiples... Et voilà le résultat :
Quatre thés aux saveurs douces, histoire de me donner l'illusion d'un goût sucré, et une bible à feuilleter, pour "après"... Un "après" qui n'est malheureusement pas pour tout de suite :
Et puis, pendant que j'étais à la librairie, il y a aussi celui-là qui a sauté dans mon panier, dites donc ! Pfffff... quel sans-gêne ! :-)