Rêve avorté
Hier, par l'intermédiaire du blog de Flanelle, je découvrais les bénévoles de l'hôpital des chats de Perpignan. Perpignan, ce n'est pas exactement la porte à côté, pour moi. Mais cet article-là et la dernière phrase de celui-là m'ont touchée - peut-être parce que j'ai vu des similitudes entre cette petite chatte et moi, et que je nous ai imaginées nous épaulant dans notre besoin de douceur, de calme, de tranquilité... et de solitude respectée. Et j'ai laissé un message, pour dire que j'aimerais bien l'adopter, si la distance n'était pas un problème.
Ce matin, une visite sur le site m'a appris que Kouraï devrait intégrer son nouveau foyer samedi prochain. Et si je suis véritablement heureuse de penser qu'elle va enfin pouvoir se poser et trouver un équilibre, j'ai mal malgré tout de mon rêve avorté...